Le mardi est un jour maudit...

Peu de temps après avoir répondu a Ombline, l'excité de service c'est amusé a rejouer avec son sifflet pour cette fois nous dire de nous remettre en place pour les matchs. Cette fois je restais de ce coté du filet, et attendais que monsieur l'agent de la circulation nous autorise a commencer le match. Dès qu'il siffla, je fis un service qui se solda par une balle qui partit en direction de Ombline, jusqu'a lui partir dans le ventre
Bon bah pour faire bonne impression c'est raté....
J'accouraid de l'autre coté du terrain pour aller voir si tout allé bien.
Ca va? je ne t'ai pas fais mal?

Je venais de lui demander si elle allais bien, que je vis qu'elle rigolais. J'en déduisais donc que je ne lui avais pas fais mal, et je chassais donc de mon visage ce stress pour le remplacer par un petit sourire.En même temps ce n'est pas avec ma force de mollusque que je vais la blesser. ça va t'inquiète, je suis pas en sucre! Et puis on est quitte comme ça! Aller, on a un match à jouer! me dit elle. Sur ce elle me rendit le ballon, et étais déjà sur le terrain, prête a me renvoyer les balles. Je lui faisais donc un service... a l'opposé de sa position cette fois. (oui une fois ca passe, mais une deuxième on se demanderais si c'est fais exprès).

Elle accouru a l'autre coté du terrain, et rattrapa la balle. Finalement je me retrouvais avec la balle venant vers mon terrain, a l'exact opposé de ma position : a savoir au filet a gauche. je courrais donc comme un fou en diagonale, avant de plonger et de me ramasser par terre, mais en ayant réussi a relancer la balle, qui fis une cloche en hauteur, avant de tomber vers le terrain d'Ombline a coté du filet.

Le temps de me relever, et je vis Ombline faire une manchette, puis la balle partit en l'air avant d'arriver juste a coté de la ligne... mais malheureusement, du coté extérieur. Il aurais suffit 1 cm a gauche et elle serais passé. C'étais dommage car elle avais très bien joué, mais en même temps j'étais cloué au sol, dont j'avais encore la trace sur mon survet. Je sentais que ça piquais au niveau de ma joue droite, et sur mes mains, signe que je m'étais éraflé a ces deux zones. Je décidais de quand même continuer a jouer, ce n'étais pas de petites éraflures qui allais pas m’empêcher de jouer. Je me mettais donc dans mon coin de service, le même que depuis tout a l'heure, le droit, ou j'attendais que Ombline me fasse un signe pour que l'on reprenne.

Ombline refusa que l'on reprenne le match a cause de mes égratinures. Ainsi elle alla le signaler au prof qui nous dis d'aller a l'infirmerie. Je me retrouvais donc a suivre Ombline dans les couloirs qui m'étais inconnu. Au bout de quelques couloirs passés je ne savais déja plus d'ou nous venions, et je serais simplement incapable de retrouver mon chemin sans Ombline pour me guider.

Effectivement, elle se déplaçais avec aisance des ces interminables couloirs, digne d'un labyrinthe. A un moment Ombline se retourna et vit surement que j'avais l'air perdue, puisqu'elle me demanda si j'avais eu une visite du lycée. Je n'eu même pas le temps de répondre qu'elle compris que je n'en avais pas eu. Ni une ni deux, elle devint mon guide, pour notre escapade dans le labyrinthe dans le couloir, m'indiquant ou se situés la salle des prof, la vie scolaire, les toilettes, les salles des divers clubs... ect ect jusqu'a arriver a la porte ou elle me dis que c'étais l'infirmerie. J'ouvrais donc la porte et entrais dedans, tenant la porte pour qu'Ombline rentre aussi pour s’asseoir sur une des chaise pour patienter dans l'infirmerie.

Je rentrais dans la salle d'infirmerie a proprement parler. Lorsque je fis face a l’infirmière, elle me demanda si j'étais un élève d'ici et comment je m'étais fais ça. Je lui expliquais donc que je venais d'arriver, et que j'ai plongé pour avoir une balle qui allais passer. Je me suis pris le classique sermon "il faut pas faire ça tu peut te faire trèèès mal... que l'on connais tous mais qu'on ne fais comme si on ne nous l'avais jamais dit a chaque fois qu'on revient. Elle ouvris son ordinateur et créa une fiche élève pour moi, étant donné que je venais d'arriver et que je n'avais que mon nom sur la liste d'appel. Quand elle eut fini elle m'enleva ensuite les petit morceau de caillou puis mit le fameux spray antiseptique.... ce spray est vraiment étrange ; on sais qu'il pique et que ça fais mal, pourtant on s'en met, signe d'un masochisme intentionnel de toute les personne se l'appliquant eux même. Quand elle eut fini, elle me fit un mot et me renvoya dans la salle d'attente, ou je vis Ombline, assise sur sa chaise comme quand je l'y ais laisée, jouant sur son portable a un jeu de guitare, avec une concentration digne d'un chaton voyant un laser sur le sol. Tout a coup je vis qu'elle jouais sans le son. Tu aurais pu me demander je t'aurais passé mes écouteurs je les ais toujours sur moi Dis je en les sortant de ma poche pour lui montrer

Bah tu sais à force je les entends plus vraiment les chansons, c'est surtout pour la rapidité que je joue. Pour le plaisir auditif je préfère vraiment jouer de ma basse. Bon tu viens? J ai un match à gagner!
Elle joue de la basse, sympa. Je la suivais donc dans le méandre de couloirs du lycée, ou je ne reconnaissais toujours pas les couloirs, ne comprenait pas pourquoi on tournais autant de fois, comme si le lycée étais très long.. Finalement, on arriva sur le terrain de sport, ou je présentais le mot de l'infirmière au prof qui acquiesçait pour me dire que je pouvais retourner sur le terrain. Le temps de nous replacer, je lançais le ballon en l'air, quand le prof siffla pour signaler la fin du cours.